Les Amis Suisses de l'Université Hébraïque de jérusalem
Notre mission : faire progresser la recherche scientifique d’intérêt général avec l’université de Jérusalem
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Lors de la soirée du 14 novembre, nous présenterons le nouveau Centre FOOJI pour une alimentation durable et responsable, ainsi que le partenariat entre l’Université et la ville d’Ofakim dans le Negev .
Le 14 novembre à l’Hôtel Intercontinental à Genève–
PROGRAMME
La résistance aux antibiotiques est une menace sérieuse pour la santé, car certaines bactéries deviennent de plus en plus difficiles à traiter. Une étude récente, dirigée par le Prof. Zvi Hayouka de l’Institut de Biochimie, Sciences alimentaires et Nutrition à l’Université hébraïque de Jérusalem, et le Prof. Jens Rolff de la Freie Universität Berlin, avec le chercheur postdoctoral Dr. Bernardo Antunes, propose une nouvelle approche pour contrer ce problème.
Les peptides antimicrobiens sont de petites protéines naturelles produites par notre corps ou créées en laboratoire pour tuer ou neutraliser les microbes comme les bactéries. Cette étude explore l’utilisation de mélanges aléatoires de ces peptides pour combattre les infections. Contrairement aux peptides uniques, ces mélanges semblent beaucoup moins susceptibles de provoquer des résistances chez les bactéries.
Les chercheurs ont testé ces mélanges contre Pseudomonas aeruginosa, une bactérie particulièrement difficile à traiter. Les résultats ont montré que les mélanges étaient efficaces pour combattre cette bactérie sans être toxiques. Cette approche innovante pourrait offrir une alternative prometteuse aux antibiotiques traditionnels et aider à préserver la santé publique en ralentissant le développement de résistances.
Les abeilles jouent un rôle immense sur notre planète, bien plus que ce que l’on peut percevoir . En pollinisant nos fleurs et en aidant à la production des fruits et légumes que nous apprécions, elles sont les héroïnes méconnues de notre écosystème.
Mais saviez-vous que leur régime alimentaire joue un rôle crucial dans leurs tâches quotidiennes et leur survie ?
En ce qui concerne leur alimentation, il ne s’agit pas seulement de sucres et d’amidons. Nous avons des nouvelles directement de la ruche qui pourraient nous aider à les aider à mieux faire leur travail. De nouvelles recherches ont éclairé comment l’équilibre du régime alimentaire des abeilles influence directement leur santé et leur performance au travail.
Derrière, cette recherche fascinante se cache le professeur Sharoni Shafir de l’Université hébraïque de Jérusalem. Travaillant à la Faculté Robert H. Smith de l’Agriculture, de l’Alimentation et de l’Environnement, le professeur Shafir se penche sur l’équilibre nutritionnel des abeilles et ses effets sur leur forme globale et leur homéostasie.
L’étude nous présente un tableau clair : un régime alimentaire équilibré n’est pas seulement souhaitable mais indispensable pour la santé optimale des abeilles. La performance globale de ces créatures laborieuses, notamment pour nourrir les larves, dépend de leur apport nutritionnel. Sans un régime bien équilibré, les abeilles peuvent voir leurs capacités de nourrissage entravées.
Vous vous demandez ce que nous entendons par un régime équilibré pour ces amis bourdonnants?
Un aspect clé est le rapport omega-6:3. Dans l’étude du professeur Shafir, un rapport omega-6:3 de 5:1 s’est révélé nuisible pour les abeilles. Avec ce régime déséquilibré, il leur a fallu plus de temps pour commencer à nourrir. Elles ont effectué moins de tours de nourrissage et n’ont pas pu répondre correctement aux besoins des larves de trois jours et de quatre jours.
Les abeilles n’ont pas accès aux étiquettes nutritionnelles comme nous. Elles ne peuvent pas vérifier le rapport omega-6:3 avant de choisir leur nourriture. Alors, qui va garantir que leur régime est équilibré ?
Régime équilibré vs. déséquilibré
L’équipe de recherche a pris des abeilles ouvrières d’un jour et les a divisées en deux groupes. Un groupe avait un régime équilibré, tandis que l’autre groupe avait un régime déséquilibré pendant sept jours. Ensuite, les abeilles ont été placées dans une ruche commune, identifiées par des codes-barres, et filmées en continu pendant six jours.
Les abeilles du groupe ayant reçu un régime déséquilibré ont montré un retard dans le comportement de nourrissage et une efficacité réduite dans le soin des larves, ce que le professeur Shafir avait anticipé.
Un grand pas pour les abeilles
Les résultats de cette étude ont des implications considérables, notamment dans les paysages cultivés où les sources de pollen équilibrées peuvent être rares. « Une nutrition équilibrée est fondamentale pour les colonies d’abeilles, impactant non seulement la santé individuelle mais aussi l’efficacité et la survie globale de la ruche », a déclaré le professeur Shafir.
« Notre étude souligne l’importance de maintenir un rapport omega-6:3 équilibré dans le régime alimentaire des abeilles pour qu’elles puissent remplir efficacement leurs rôles cruciaux au sein de la colonie. » Une augmentation du rapport omega-6:3 pourrait représenter un risque sévère pour ces créatures étonnantes, affectant leur santé, leurs capacités cognitives et leur force pour maintenir leurs colonies à flot.
Mais tout n’est pas sombre. La recherche ouvre la voie à une meilleure compréhension des besoins nutritionnels des abeilles. C’est un appel à renforcer nos efforts pour préserver des sources de pollen diversifiées et nutritionnellement adéquates pour ces pollinisateurs essentiels. Alors, que pouvez-vous faire pour nos amis bourdonnants ?
La recherche du professeur Shafir s’inscrit dans des découvertes plus larges sur la manière dont les déséquilibres nutritionnels impactent non seulement les abeilles mais aussi diverses espèces. Cela affecte leur survie, leur reproduction et même la santé de leur progéniture.
Cette recherche n’est pas simplement une note de bas de page dans les annales de la littérature scientifique. C’est un appel aux humains pour accroître la sensibilisation et agir pour soutenir les besoins nutritionnels des abeilles.
Après tout, elles jouent un rôle vital dans le maintien de leurs populations et la fourniture de services de pollinisation cruciaux.
Alors, la prochaine fois que vous verrez une abeille butiner des fleurs dans votre jardin, rappelez-vous que veiller à ce qu’elle trouve un régime équilibré pourrait faire une grande différence. Et ce faisant, vous aidez non seulement les abeilles, mais aussi notre planète.
*Article publié Animal Behaviour
Affirmant son engagement à promouvoir la recherche et l’éducation dans les régions périphériques, l’Université Hébraïque de Jérusalem a annoncé un projet d’ouverture d’une nouvelle branche de sa Faculté d’Agriculture, d’Alimentation et d’Environnement à Ofakim. La conférence inaugurale de la 87e session du Board of Trustees et du Board of Governors s’est tenue pour la première fois à Ofakim, dans le Néguev occidental au sud d’Israël. Cet événement festif a réuni des membres sélectionnés d’Israël et de l’étranger, avec une visite de l’école agricole locale, qui collabore étroitement avec la faculté de l’université.
Le 03 juin, l’Université Hébraïque a tenu la conférence inaugurale de sa 87e session du Board of Trustees and Governors à Ofakim, démontrant sa solidarité avec le Néguev occidental après les événements du 7 octobre. L’événement s’est déroulé dans la salle culturelle communautaire d’Ofakim, réunissant environ 100 membres du conseil venus d’Israël et de l’étranger. Parmi les participants de marque figuraient le président de l’Université Hébraïque, le professeur Asher Cohen, le recteur, le professeur Tamir Shafer, le vice-président des relations extérieures et du développement des ressources, l’ambassadeur Yossi Gal, le président du conseil, M. Dan Schlesinger, et le maire d’Ofakim, Itzik Danino.
Après l’événement, la délégation a visité l’école agricole innovante Regavim, où elle a découvert divers projets scolaires ainsi que le centre scientifique de la ville, essentiels aux collaborations en cours avec la Faculté d’Agriculture, d’Alimentation et d’Environnement de l’Université Hébraïque de Jérusalem. La visite a mis en lumière la vision d’Ofakim de devenir le centre agro-tech d’Israël, avec des présentations illustrant cette ambition.
Suite aux événements tragiques du 7 octobre qui ont profondément touché le Néguev occidental et Ofakim, l’Université Hébraïque a réitéré son engagement à soutenir la récupération et la résilience de ces communautés. En tant que principale institution de recherche d’Israël, l’université est déterminée à faire avancer la science et à apporter des contributions significatives à la société, notamment en développant les régions périphériques du pays. La décision du Board of Trustees and Governors de se réunir à Ofakim souligne un renforcement des liens entre l’université et la région du Néguev.
Le professeur Asher Cohen a déclaré : « L’Université Hébraïque est la principale université de recherche d’Israël. Au-delà de notre mission scientifique, nous nous engageons à susciter la curiosité scientifique et à éduquer les générations futures. Notre engagement fort avec Ofakim, particulièrement après le 7 octobre, illustre notre dévouement à promouvoir l’excellence éducative et la passion pour la science dans tout le sud d’Israël. »
Le maire Itzik Danino a exprimé : « À une époque où l’antisémitisme mondial est en hausse et où les milieux académiques sont confrontés à des défis, il est crucial de renforcer les institutions académiques d’Israël. L’accent mis par Ofakim sur l’agro-tech, associé à des structures éducatives et académiques solides, contribuera de manière significative à la vitalité économique et sociale de la région. L’établissement d’une branche de la Faculté d’Agriculture de l’Université Hébraïque ici à Ofakim améliorera notre paysage éducatif, au bénéfice des résidents de tout le Néguev. Accueillir le Board of Trustees and Governors à Ofakim pour la première fois est un immense honneur et témoigne de notre partenariat croissant et de notre engagement mutuel. »
En réponse au défi mondial crucial du changement climatique, l’Université lance l’année prochaine (2025) un programme de master dédié au développement de nouvelles technologies visant à promouvoir les sources d’énergie non polluantes. Ce programme unique vise à doter les étudiants chercheurs des compétences et des connaissances nécessaires pour stimuler les avancées dans le domaine de l’énergie verte.
Le professeur Lioz Etgar , de l’Institut de chimie, indique « Nous tirerons parti du savoir des experts renommés de l’Université Hébraïque de Jérusalem, dans des domaines tels que la chimie, la science des matériaux, la nanotechnologie, l’ingénierie, la physique, la biologie, l’agriculture, l’économie et les sciences sociales. Grâce à nos connaissances collectives et à notre expertise unique, nous visons à encourager des recherches et des développements révolutionnaires en Israël et au-delà. »
La crise climatique est un problème urgent dans le monde entier, et Israël ne fait pas exception. D’ici 2030, l’objectif est que 30 % de la production énergétique d’Israël provienne de sources renouvelables. En 2022, le gouvernement a alloué 25 millions de dollars (100 millions de NIS) pour soutenir des projets d’énergie verte. Environ 12,5 % de la consommation nationale d’électricité provenait de sources renouvelables.
Le nouveau programme de master de l’Université hébraïque explorera divers aspects de l’énergie verte, les développements de matériaux écologiques, la compréhension des mécanismes d’application, la création de dispositifs de production d’énergie verte, ainsi que les défis liés au stockage et à la gestion de l’énergie.
Les chercheurs collaboreront avec des entreprises mondiales et israéliennes dans le secteur de l’énergie verte. Cela conduira à des start-ups innovantes et à des avancées technologiques significatives dans la production solaire améliorée, de nouvelles approches des carburants solaires, le développement de l’hydrogène vert et des solutions innovantes de stockage d’énergie. Ces développements contribueront à atténuer le réchauffement climatique et à assurer un avenir plus vert et durable.
La société Forsea a été co-fondée par Yaniv Elkouby qui sera un de nos invités lors de notre prochain Gala, le 12 octobre 2023.
Le magazine Heidi.news, vient de publier un excellent article sur le défi que s’est lancé Forsea: Recréer en laboratoire des filets d’anguille.
A lire absolument avant de nous rejoindre le 12 Octobre pour notre soirée de Gala sur le thème « Nourrir la Population de Demain »
Lire la suite : On parle de la société Forsea dans la presse Suisse Romande.Le réchauffement climatique et la protection de l’environnement sont des défis sans précédents pour l’Humanité.
Le sujet est terriblement anxiogène, et chaque année nous percevons un peu plus les changements météorologiques .
Il existe pourtant de nombreuses solutions développées par la communauté scientifique à travers le monde. L’Université Hébraïque de Jérusalem fait figure de leader dans des domaines aussi variés que la réduction de la pollution, le remplacement des produits plastiques, la protection des fonds marins, ou le développement d’alternatives aux protéines animales.
Découvrez dans cette vidéo, les projets et innovations technologiques développées par des start-up émanant de l’Université.
Une vidéo qui donne de l’espoir et rappelle combien le soutien de la recherche est essentiel.
L’équipe de chercheurs composée de Shai Torgeman et du Professeur Dani Zamir ont identifié des interactions entre deux zones du génome de la tomate et ont réussi à utiliser ces interactions pour créer une espèce dont le rendement des récoltes est bien plus important. Ils ont également découvert que la nouvelle variété nécessite moins d’eau et résiste à un climat sec.
Pour arriver à ce résultat, les chercheurs ont utilisé pour leur étude une tomate sauvage du Pérou ainsi que des tomates de cultures traditionnelles. Ils ont procédé au séquençage du génome de la tomate afin d’identifier quelle partie de l’ADN était « responsable » de la croissance et de la résistance du fruit.
Suite aux résultats satisfaisants quant au rendement de cette nouvelle variété, l’équipe va lancer la commercialisation!
Une bonne nouvelle pour les amateurs de Tomates Mozzarella!
https://en.huji.ac.il/news/researchers-develop-new-drought-tolerant-variety-tomatoes
Les moustiques sont votre cauchemar estival ? La hausse des températures et la pollution lumineuse étendent la période durant laquelle ces insectes prolifèrent et passent à l’attaque.
Des chercheurs de la Faculté d’Agriculture Robert Smith, dirigés par Daniel Voignac, ont découvert que l’utilisation de la cellulose (très abondante dans l’industrie du bois) permettait de créer un filtre protecteur pour la peau, et de réduire la surface d’attaque des piqûres de moustiques de plus de 80%! Une découverte notable quand on connaît le danger sanitaire que représentent les piqures de moustiques à travers le monde.
Le docteur Argov Nurit de l’Université Hébraïque de Jérusalem a fondé Wilk (sous le nom de Biomilk) en 2018 et a depuis développé une technologie cellulaire pour produire du lait maternel et animal cultivé. Wilk a été introduite en bourse sur le TASE en 2021. Wilk isole les cellules productrices de lait du pis des vaches et les transfère dans un bioréacteur, où elles sont exposées à des matériaux brevetés par l’entreprise, pour produire des ingrédients laitiers, mais sans avoir besoin d’une vache dans le processus final de production de lait. La société Danone vient de conclure un accord stratégique avec WILK et investira USD 2 Millions en vue de développer des composants de lait maternel cultivé!
Un projet que nous suivons de près puisque Nurit Argov sera présente lors du Gala du 12 Octobre!
Le sésame a de nombreuses vertus et est considéré comme une “super food”.
Ce que nous savons moins, c’est qu’il ne peut se récolter qu’à la main.
Idan Sabag, mène des recherches au sein du laboratoire du professeur Zvi Peleg afin de modifier les graines de sésame et rendre possible une récolte mécanique.
Un tel changement permettra de nourrir à grande échelle les populations tout en préservant les qualités nutritives du sésame, très intéressantes notamment chez le jeune enfant.
Découvrez le parcours de Martin Gitonga, originaire du Kenya , étudiant en Botanique à la faculté d’Agriculture de l’Université Hébraïque de Jérusalem.
Passionné par la culture des fruits, Martin cherche à aider concrètement les agriculteurs et pépiniéristes en réduisant l’acidité des fruits et améliorant leur goût et qualité.
En aidant les élèves du monde entier à étudier à l’Université de Jérusalem et à diffuser leur savoir dans leur pays d’origine vous participez à la construction d’un monde plus juste et équitable.
Contactez nous, pour soutenir des étudiants comme Martin, et les aider à exporter le savoir acquis auprès de l’Université Hébraïque de Jérusalem.
L’Université Hébraïque de Jérusalem vient de publier dans le prestigieux journal Nature Foods, une étude complète sur la production de poulet de culture.
Lors de cette étude, menée par le professeur Yaakov Nahmias , fondateur de Believer Meats , les chercheurs ont produit des cellules de fibroblastes de poulet. Ce processus ne nécessite aucune modification génétique.
Nous vous vous présentions ce processus révolutionnaire il y a quelques semaines déjà.
Cette publication est néanmoins majeure car elle décrit en toute transparence le processus utilisé, sans se cacher derrière la notion de secret commercial.
Yaakov Nahmias considère en effet, que seule une totale transparence fera adhérer les consommateurs à la « culture meat » et permettra une évolution des modes de consommation.
A la lecture de cette article, vous (re) découvrirez comment la startup Believer Meats, “cultive” de la viande à partir de cellules animales, non génétiquement modifiées.
Le professeur Yaakov Nahmias de l’Université Hébraïque de Jérusalem raconte le chemin qui l’a conduit à utiliser les fibroblastes, pour produire de la viande , et ainsi réduire drastiquement les émissions carbones, la consommation de terrain et d’eau liées à l’industrie de l’élevage tout en assurant le bienêtre animal.
https://interestingengineering.com/innovation/israel-company-cultivated-meat
L’Université et le centre Yissum travaillent conjointement sur l’utilisation de briques de sel pour l’industrie de la construction.
Une alternative intéressante quand on connaît le coût environnemental de l’industrie du ciment.
https://nocamels.com/2022/11/bricks-made-of-salt-the-building-material-of-the-future/
Non ce n’est pas une glace au houmous…
Mais tout de même, une glace à base de pois chiche, sans lactose.
La société ChickP , du groupe Yissum, The Hebrew University Tech Transfer Company , a développé l’utilisation de cette légumineuse qui constitue une excellente alternative aux protéines traditionnelles.
Et vous ? Vous êtes plutôt coupe ou cornet?
#protein #foodtech #sustainable
Lianet Noda-García , professeur à la faculté d’Agriculture Robert Smith de l’Université Hébraïque de Jérusalem, nous fait part de ses recherches sur des bactéries pouvant “casser” les molécules du #plastique.
Un enjeu essentiel quand on sait que plus de 500 tonnes de plastic sont produites chaque année.
Un travail conjoint de recherches menées par les professeurs Haim Rabinowitch et Lioz Etgar de The Hebrew University of Jerusalem conduit à une découverte majeure pour la production d’énergie verte en agriculture.
Les panneaux #photovoltaïques occupent une très large surface, au détriment des terrains agricoles.
Ainsi, beaucoup de cultivateurs rechignent à utiliser cette # #énergie #verte.
Les “cellules solaires” mises au point, permettent de produire de l’électricité tout en conservant la possibilité de produire sous les cellules.
La cellule laisse la lumière passer pour les plantations et simultanément, stocke l’excès d’énergie pour l’utiliser comme électricité.
Une invention majeure qui pourrait révolutionner l’utilisation d’énergie verte dans le domaine agricole.